LES DEUX DE PIQUE DU CH : JAKE EVANS ET CHRIS WIDEMAN…

Je veux bien croire Jake Evans, le petit joueur de centre (176 lbs mouillé) du Canadien de Montréal, quand il dit ne pas se préoccuper de ses statistiques offensives (7 points en 37 matchs depuis le début de la saison), mais il y a quand même des limites ! Le 23 décembre dernier, profitant d’un reste d’avantage numérique de son club, il a marqué son premier but depuis…le 29 avril 2022 ! 239 jours sans secouer les cordages du filet adverse !

La saison dernière, sa meilleure depuis ses débuts dans la LNH en 2020, il avait tout de même réussi à marquer 13 fois en plus de fournir 16 aides, pour 29 points. Evans (photo ci-dessous) dit contribuer différemment à son équipe cette saison en bloquant des tirs et en s’appliquant à bien jouer en désavantage numérique. On ne peut pas dire que le Cacanadien excelle dans ce domaine avec un pourcentage de réussite de 74,6 %, « bon » pour le 23e rang dans la Ligue Nationale.

En riant (jaune, peut-être), le no 71 des CHaudrons, âgé de 26 ans, marqueur prolifique durant ses années collégiales, dit s’en remettre à ses jeunes coéquipiers Nick Suzuki et Cole Caufield pour se charger de l’offensive du club poche des Molson. C’est justement ça le problème ! Des joueurs ayant pourtant quelques habiletés pour faire scintiller la lumière rouge des buts ennemis, et ainsi fournir un complément essentiel à la production offensive du premier trio, ne livrent pas la marchandise.

Josh Anderson (photo ci-dessous) peut jouer un bon match et être totalement invisible les quatre suivants. Avec neuf buts en 35 joutes, sa fiche est déficitaire. Avec Columbus, il en avait scoré 27 en 2018-19 avant de s’amener à Mourial. De plus, il ne se force pas sur ses replis défensifs avec le CHicolore. Au chapitre des +/-, de + 25 à sa dernière saison avec les Blue Jackets, il est passé à – 25 avec le torCHon, en 2021-22. Une lourde perte de motivation peut-être ?

En 2018-19, Mike Hoffman a trouvé le fond du filet opposé à 36 reprises avec les Panthers de la Floride. Cette saison, avec le CH, il aura du mal à égaler sa production de 15 buts de l’an passé. Il en a 7 présentement. À sa décharge, il a raté 10 parties en raison de blessures ou parce que son nom a été rayé de la formation (healthy scratch). C’est à l’image de ses trois dernières campagnes : beaucoup de rencontres manquées pour diverses raisons. Il a été mis sous contrat pour trois ans (5 millions de $$$ par année) par le CH à l’été 2021, à titre d’agent libre. Ça fait cher payé par but.

On s’attendait à beaucoup plus du joueur de centre numéro 2 Christian Dvorak acquis des Coyotes de l’Arizona en septembre 2021. Ses 18 buts en 93 matchs jusqu’ici avec les CHieux laissent beaucoup à désirer…

Le soutien offensif ne viendra pas des défenseurs du Gros CHiard. Ils revendiquent un grand total de 12 buts cette saison. Dont cinq par le surprenant Arber Xhekaj. Chris Wideman n’est qu’un réserviste de la brigade défensive des Canailliens, mais parce qu’il a dû remplacer plusieurs de ses coéquipiers blessés, il a disputé 22 rencontres. Wideman n’est pas réputé pour ses qualités en défensive (18 revirements commis), mais il possède un certain talent en offensive. Or, même s’il a été le défenseur du CH qui a joué le plus de minutes en avantage numérique (45:34 minutes), il n’a pas réussi à marquer un seul but (deux aides seulement).

Avec toutes ces contre-performances, pas surprenant que le Caca connaisse une autre saison de misère…

QUOI ?! LES FEFANS DE PLANÈTE MOURIAL NE SONT PAS LES NO 1 ?!

Le Réseau RBS (le préféré des 365 000 chômeurs et BS de la métropauvre) rapportait hier que le magazine américain FORBES classait les fefans au 11e rang des meilleurs partisans de sports en Amérique du Nord. Hein ? Comment ça 11e ? Ils s’auto-proclament les no 1 depuis toujours… Les membres de la direction et les joueurs de la Sainte Guenille (qui, on le sait, ne mentent jamais) radotent aussi cette affirmation à tout bout de champ… Quoi ?! Ce ne serait pas vrai ? On nous a trompés ? On nous a fait avaler encore de grosses belles couleuvres gluantes ? Oh la la !

Ne pouvant le croire, car RBS reprend souvent tout croCHe des nouvelles que ses joueurnalisssssses incompétents prennent ailleurs, j’ai été vérifier à la source, pour savoir la vérité. FORBES affirme bien que les fans bipolaires des CHieux occupent le 11e rang de leur classement, mais avec certaines nuances. Les journalistes de la revue ont dressé une liste de 16 équipes des quatre principaux sports nord-américains (baseball, basketball, football, hockey). Chacune de ces disciplines sportives est représentée par quatre clubs. Les critères de sélection sont les suivants : les assistances aux parties de l’équipe à domicile et à l’étranger (RBS ne parle que des assistances aux matchs à domicile); les ventes de produits dérivés du club; la popularité de l’équipe sur le marché selon certains sondages (RBS parle plutôt de taille ou de grosseur du marché). Voici donc ce classement, que RBS ne prend d’ailleurs même pas la peine de nous donner :

  1. Red Sox de Boston
  2. Steelers de Pittsburgh
  3. Red Wings de Détroit
  4. Colts d’Indianapolis
  5. Patriots de la Nouvelle-Angleterre
  6. Penguins de Pittsburgh
  7. Celtics de Boston
  8. Spurs de San Antonio
  9. Cowboys de Dallas
  10. Cards de St-Louis
  11. CHieux de Mourial
  12. Lakers de Los Angeles
  13. Cavaliers de Cleveland
  14. Yankees de New York
  15. Phillies de Philadelphie
  16. Blackhawks de Chicago.

En faisant des recherches pour trouver cette étude réalisée par FORBES, je suis tombé sur une autre qui énumérait les pires endroits (villes) pour être un partisan de sports en Amérique. Je me suis dépêché d’aller voir de quoi il en retournait. Ce classement-là était basé sur le prix des billets chargé aux spectateurs par les clubs de sports professionnels, par rapport au revenu moyen des habitants et du nombre de victoires des équipes en question. Autrement dit, les villes qui se classaient le plus haut, sur cette liste de fans en ayant le moins pour leur argent, étaient celles dont les clubs sportifs perdaient le plus souvent leurs matchs tout en chargeant à la fois le plus cher pour les billets, à un bassin de fans relativement moins fortunés qu’ailleurs. Mourial figurait-elle sur la liste ? Avec ses 20% de gens sans travail, et un gros pourcentage de citoyens qui vivent sous le seuil de la pauvreté; avec la piètre tenue de ses CHaudrons au cours des seize dernières années; avec les prix exorbitants que les fefans déboursent pour les billets; on pouvait croire qu’ils seraient en tête de liste dans le classement de FORBES.

Eh bien non ! Moronsville ne trône pas au sommet de ce classement des villes de sports les plus misérables. En fait, la cité du maire Tremblay ne fait pas partie de ce palmarès peu envieux de FORBES. Bonne nouvelle ? Pas du tout ! Pour être éligibles à cette étude, il fallait que les villes analysées aient au moins deux équipes de sports professionnels. Or, on sait que Mourial-les-casses-de-bain n’a que ses canaCHiens comme club dans les grandes ligues. Les Expos sont partis depuis belle lurette, il n’y a pas d’équipe de basket et les Alouettes ne comptent pas puisqu’ils évoluent dans une ligue mineure de broches à foin.

C’est bien certain que si FORBES avait ajouté des critères de sélection comme la laideur de la ville, la stupidité des partisans et le nombre d’actes de violence qu’ils commettent, Mount Riouwl aurait gagné le bonnet d’âne pour le pire trou de « losers » qui en donnent le moins pour leur argent à des payeurs de billets qui négligent parfois les besoins essentiels de leur famille afin de pouvoir regarder perdre leur club poCHe en direct.

Parlons de choses plus agréables, si vous le voulez bien. Il y a quelques jours, je vous annonçais que je venais de diffuser mon CHEERLEADERS SPECIAL NO 1 sur mon blog FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW (http://footballmaniaavechacksaw.blogspot.com). En recherchant les plus belles images des meneuses de claques les plus « sexy » de la NFL, j’ai constaté que les filles des Dolphins de Miami se détachaient pas mal du lot. J’ai décidé de faire une pierre deux coups en investiguant davantage du côté de Miami pour trouver le sujet de mon plus récent billet sur BELLES À CROQUER (http://bellesacroquer.blogspot.com). Excellente idée ! Ce que j’ai trouvé ? Entre autres, le calendrier des cheerleaders des Dolphins (photo de couverture ci-dessus). Faites un détour pour voir quelques-uns des plus beaux spécimens que la race humaine a produits ces derniers temps. Et les sirènes des Dolphins ne sont pas seulement magnifiques, elles doivent être fortes et « tough » pour se faire aller les pom-poms sur un terrain brûlant où la température peut atteindre 120° F.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

On peux-tu compter l’impact comme équipe professionnelle ? Non! c’est comme une division 7 au soccer…Leur 2ième équipe professionnelle ca doit être la bande de morons en BIXI.

Anonyme a dit…

Les fefans du Torchon sont les numéros 1:

– Au bureau de l’aide sociale
– À la taverne
– Dans le rayon des cochonneries du CH chez Walmart
– Dans le rayon des pantalons avec gros culs de Croteau
– Dans le rayon des fefanions cheaps du CH chez Canadian Tire

Ils sont aussi les plus grands consommateurs de May West, de Pepsi et de chips au vinaigre sur la Terre. Du ben beau monde…

Luc a dit…

Montréal: les partisans de la honte ! Quelle disgrâce !

Une suggestion pour le département marketing du CH :

Je propose qu’on vende des couleuvres en plastique dans tous les kiosques à souvenir du Centre Bell !

À $25 l’unité, on imagine déjà les fefans aveugles accourir pour en acheter des dizaines !

LE CACANADIEN PARMI LES CLUBS DE LA LNH QUI N’ONT PAS PARTICIPÉ À LA FINALE DE LA COUPE STANLEY DEPUIS LE PLUS LONGTEMPS.

On peut bien se moquer du torCHon (aussi appelé le Canadien de Montréal).  Il y a de quoi se bidonner !  Ce club de merde fait partie de ceux qui comptent le plus d’années (22 ans, soit depuis 1993) depuis leur dernière participation à une finale de la Coupe Stanley.  Le plus drôle, ça été quand ces CHokeux et ces CHieux sont venus près de mettre fin à leur très longue disette.  Prenez l’année 2010, lorsque leur miraculeux gardien Jaroslav Halak les avait conduits jusqu’à la finale de l’association Est, contre les Flyers de Philadelphie.  Dans leur bidonville sordide, les fefans bipolaires du Caca se voyaient déjà célébrer -par une émeute, évidemment- la conquête du trophée de Lord Stanley par leurs favoris.
 
Le choc et la désillusion furent d’autant plus grands quand ils virent leurs porte-torCHons se faire broyer par les Flyers et leurs farouches partisans.  Ces derniers s’en donnèrent à coeur-joie pour ridiculiser les CHieux, notamment avec des pancartes satiriques.  Du bonbon !  Frappés rudement, blessés, épuisés, démoralisés, les CHaudrons durent baisser les bras et plier l’échine.  Ils n’étaient pas de taille !  Pour ajouter l’insulte à l’injure, ils baissèrent pavillon devant Michael Leighton, un gardien sorti de nulle part, et qui disparut ensuite comme il était venu.

Oui, elle est loin la glorieuse époque du Caca !  Depuis que les règlements de la NHL ne sont plus à son avantage (notamment le système de repêchage qui protégeait l’exclusivité de sa vaste et inégalable pépinière de joueurs amateurs) et que le plafond salarial a fixé les mêmes paramètres pour toutes les formations, les succès se font rares pour la CHnoutte…  Comme en 2010, les gens du CHicolore ressortent toujours les mains vides après les séries éliminatoires, quand ils ont la chance d’y participer !  Ha !  Ha !  Ha !  Ha !  Ha !  À bas les CHieux !

L’ÉTERNEL RADOTAGE DES NOUVEAUX VENUS CHEZ LE CANADIEN.

Image

Au cours de la saison morte du hockey, lorsque de nouveaux venus s’amènent dans l’organisation du torCHon, il est de bon ton pour eux de vanter tout de suite la tradition « glorieuse et prestigieuse » du club de Mourial, sans oublier leurs partisans « formidables ». C’est une bonne introduction pour s’intégrer dans l’équipe et amadouer les fefans. Et faire oublier à ces derniers, qu’il y a à peine quelques semaines ils huaient ce club de fainéants et d’incapables; qu’ils les injuriaient en leur lançant toutes sortes de projectiles et qu’ils se moquaient du sauveur masqué, Jesus Price, celui qui devait conduire les CHieux vers les plus hauts sommets. Tout ça à la tombée du rideau d’une autre saison qui se terminait encore en queue de poisson !

En même temps qu’ils flattent les fefans dans le sens du poil, ces nouveaux « Guenilloux », souvent des restants de table des autres clubs, veulent sans doute aussi redorer leur propre blason en empruntant un peu de lustre aux anciennes Coupes Stanley gagnées par le CH. Comme disait si bien Jean Dion, du journal LE DEVOIR : «Il est bon de se frotter à la gloire, il paraît qu’il en reste toujours un peu de collée». Cette déclaration n’est pas sans rappeler celle de Voltaire : «Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose».

Cette idée de ramener constamment les fefans dans le nirvana des exploits du passé, les histoires de bras meurtris et de flambeau porté bien haut, ça berce les illusions, les rêves et les espoirs qui font croire que d’autres jours merveilleux s’en viennent bientôt. Mais tout le monde sait que les fans des Cannes à CHiens n’aiment pas tant le hockey que des CHieux victorieux. Quand leur club de CHaudrons montre son côté « perdant », la gloire d’antan prend le bord ou devient un fardeau comme l’a si admirablement écrit le grand Victor Hugo : «Ce qui d’abord est gloire à la fin est fardeau».

Pour la recrue qui rejoint les rangs du tricolore et réalise ainsi un « rêve », il est exaltant et facile de soulever les lauriers du passé légendaire du CH, mais au fil des saisons perdantes le flambeau devient de plus en plus lourd à porter et se transforme, en effet, en fardeau embarrassant.

  • «La renommée est dangereuse : son fardeau est léger à soulever, pénible à supporter et difficile à déposer». HÉSIODE dans Les travaux et les jours

BILAN DE BOIVIN AVEC LE CANACHIEN : BELLE PRÉSENTATION MAIS FAUSSE REPRÉSENTATION…

Belle présentation et belle "paire" en apparence, mais derrière le logo du CH se cache un vide rempli de fausseté ou de silicone...

Le torCHon de Mourial c’est un peu comme la poitrine de cette femme : de fausses apparences embellies et sur-dimensionnée artificiellement par des implants ou du silicone.  Si on enlevait tout ce qui est faux, tout ce qui est gonflé et maquillé par le service de marketing très habile du CH,  on aurait un résultat passablement « plate ».  Une belle présentation extérieure pour de fausses représentations à l’intérieur.  Pierre Boivin vient de quitter ses fonctions en devenant le premier président des CHaudrons à régner pendant plus d’une décennie (12 ans) sans avoir la chance de se faire prendre la binette en photo avec une Coupe Stanley.  Un échec assez lamentable sur la patinoire, mais rendons à César ce qui appartient à César, Boivin a su guider son organisation vers le succès financier.  Contrairement à ce qu’il affirme, il n’a pas réussi à remplir à nouveau l’aréna et les coffres-forts de l’équipe parce qu’il avait l’obsession du respect du client, du fefan.  Le cochon-payeur au Centre PouBell est exploité au max avec de la camelote, des billets, de la boisson et de la nourriture vendus à des prix carrément indécents.   En échange de leur argent et de leur support, on ne leur a offert que du médiocre hockey de robots, de fausses promesses et une équipe de mercenaires peu représentative de la communauté québécoise.  Beau respect, en effet !  Le Cacanadien ne gagne plus depuis qu’il ne peut plus compter sur le leadership de Québécois francophones.  On a souvent mis ce fait dans la face de Boivin, mais il a toujours trouvé des excuses pour rejeter dédaigneusement cet argument.  Son départ, d’ailleurs, signifie la perte d’un autre rare francophone de l’organisation.  La réalité, c’est que, en raison du contexte moronréalaid (fefans bipolaires, impôts élevés, ville merdique, médias dingues) , le club des Molson effraie les joueurs francophones et il ne peut boucher les trous de son alignement qu’avec les restants de table des autres formations de la NHL.  Les agents libres et les gros salariés boudent la métropauvre à moins d’être surpayés comme Gomez, Cammalleri, Gionta et Hamrlik.  D’autres viennent dans la Sibérie du hockey du maire Tremblay parce qu’ils sont en déclin ou en fin de carrière et que personne d’autre ne veut de leurs services.

Boivin a non seulement rempli le Centre Bell mais il a rempli les fefans aussi.  Il les a remplis en étirant notamment les cérémonies du Centenaire du CH sur trois ans.  Du jamais vu !  Ce qui a d’ailleurs valu à l’organisation mourialaise le titre dérisoire de « Turkeys of the Year » de la célèbre revue SPORTS ILLUSTRATED.  Ne pouvant livrer la marchandise pendant des années de misère, on a diverti le peuple en les inondant d’évènements rappelant un passé glorieux : retrait de chandail d’anciens joueurs, mini-temple de la renommée au Centre BêêêBell, création de la Place du Centenaire, les anciens chandails du club ressortis des boules à mites, etc.  Un retour dans le passé avec un paquet de livres d’histoire, de propagande et de gugusses qui se sont vendus comme des petits pains chauds et… frais (eux).  Incapables de mettre sur la patinoire des gagnants comme les Béliveau ou les Richard d’antan, on les a ramenés en statues près du building.  Oui, on les a bien rempli les cruches de fefans, on les a saoulés de souvenirs et de clinquant pendant que leurs piocheux perdaient et trébuchaient sur les surfaces glacées, avec en bonus quelques scandales plus ou moins bien étouffés par l’état-major du CH.  Chapeau monsieur Boivin.  On salue votre imagination fertile dans l’art d’amener de l’eau ($$$) au moulin tout en sachant manier adroitement le balai pour camoufler les pots cassés sous le tapis.

Juste avant son départ, lors d’entrevues avec la presse, le président sortant disait prévoir verser quelques larmes en prenant pour la dernière fois l’ascenseur qui le mènera au stationnement du Centre Bell.  Sa plus grande réalisation, a-t-il déclaré, aura été de ramener la fierté et la passion chez les partisans et dans la ville.  Fierté et passion qui se sont exprimées par des comportements non civilisés et des émeutes qui ont coûté des millions de dollars aux contribuables en plus de salir encore davantage la réputation de MortYial et du Québec tout entier.  La plus grande crainte de Boivin durant son mandat aura été la vente de l’équipe à des intérêts étrangers (Gillett).  Personne d’autre ne voulait du CH sauf cet américain sans le sou, qui a mis la main sur le torCHon grâce à l’argent prêté par le gouvernement provincial (donc nous tous).  Mais Boivin n’avait pas à avoir peur de la désaffection du public fefanesque.  Lorsque Gillett a revendu l’équipe aux Molson à un prix représentant tout l’or du Fort Knox, les fefans se sont prosternés devant lui pour le remercier de les avoir exploiter à l’os !  Sans doute un ancien réflexe de Canadiens Français colonisés,  d’avant la révolution tranquille, baisant le cul de ses exploiteurs, à cette époque lointaine et oh combien regrettée où le Canadien gagnait…